« Qui sait où la grâce veut mener [l’âme] ? Qui pourrait deviner ce que la nature fait d’un ver à soie s’il [ne] l’avait vu ? Il faut lui présenter des feuilles, et c’est tout : la nature fait le reste. […] Et après plusieurs transformations, l’âme consommée reçoit des ailes pour s’envoler dans les cieux, après avoir laissé sur la terre une semence féconde pour perpétuer son état dans les âmes. »
L’Abandon à la Providence divine, autrefois attribué à Jean-Pierre de Caussade, Desclée de Brouwer Bellarmin